Algérie. Amnesty International condamne la fermeture des bureaux de deux associations à Oran

[vc_row full_width=”stretch_row_content_no_spaces”][vc_column][vc_single_image image=”4514″ img_size=”full”][/vc_column][/vc_row][vc_row][vc_column][vc_column_text]Réagissant à la décision des autorités Algériennes de fermer les bureaux de deux importantes organisations de défense des droits des femmes à Oran, à savoir « Femmes Algériennes Revendiquant leurs Droits (FARD) » et « l’Association Féministe pour l’Epanouissement de la Personne et l’Exercice de la Citoyenneté (AFEPEC) », Amnesty International a déclaré :

« Cibler ces organisations de défense des droits des femmes est une attaque honteuse au droit à la liberté d’expression et d’association. Il s’agit encore d’un autre exemple de l’inquiétante répression des organisations de la société civile de la part des autorités algériennes. Il faut mettre fin à cette répression maintenant.»

Les deux organisations doivent être autorisées à reprendre leurs activités immédiatement, sans crainte de représailles. Ces tactiques rappellent une époque révolue et sont contraires aux obligations de l’Algérie en vertu du droit international. »

“Le droit à la liberté d’association est nécessaire dans une société forte et dynamique. Plutôt que de chercher à restreindre les droits humains, les autorités algériennes doivent abroger les lois et les pratiques qui restreignent davantage l’espace pour la société civile et garantir que les défenseurs des droits humains puissent travailler dans un environnement sûr et favorable. »

Publié le 02.03.2018

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