Azerbaïjan. Libération de deux jeunes emprisonnés pour un graffiti

[vc_row full_width=”stretch_row_content_no_spaces”][vc_column][vc_single_image image=”6780″ img_size=”full” label=””][/vc_column][/vc_row][vc_row][vc_column][vc_column_text]Les jeunes militants Bayram Mammadov et Giyas Ibrahimov ont été remis en liberté en Azerbaïdjan à la faveur d’une grâce présidentielle le 16 mars. Leurs cas figuraient dans l’édition 2016 d’Écrire pour les droits et plus de plus de 230 000 actions avaient été menées en leur faveur.

Les deux étudiants de 22 et 23 ans, membres du Mouvement pour un changement démocratique non violent (NIDA, “exclamation” en azéri),  ont été arrêtés le 10 mai 2016 et condamnés en octobre et décembre 2016 pour un simple graffiti, qui avait pour but de dénoncer l’autoritarisme du régime.

Le 9 mai 2016, le jour de l’anniversaire de l’ancien président d’Azerbaïdjan, Heydar Aliyev, les deux jeunes militants ont peint un graffiti à caractère politique sur une statue. Ils ont ironiquement tagué le message : « Joyeuse fête de l’esclavage » (en référence à la fête des fleurs, fête nationale). Ils ont ensuite pris une photo de ce message et l’ont partagée sur les réseaux sociaux.

Publié le 25.03.2019

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